mercredi 16 mars 2016

SALON DU LIVRE..2016 QUI DEVIENT LE LIVRE 2016 de PARIS...(.nous n'avons pas eu d'invitation de e-badge pro donc nous irons comme visiteurs & parlerons des livres & des auteurs & pas du salon ce qui nous parait logique)

SALON DU LIVRE 2016 LA VILLE DE CONSTANTINE CAPITALE MONDIALE ARABE A L'HONNEUR AVEC UN NOMBRE D'AUTEUR(E)S & EDITEURS PRESENTS A PARIS...........
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POUR LES TARIFS PROMOTIONNELS GRAND PUBLIC..

....ON N'EST SENIOR QUE VENDREDI MATIN DE 9H30 à 14h00...APRES....C'EST PLEIN TARIF...............

..MÊME PAS LA JOURNEE ENTIERE...
POUR UN SALON FINANCE PAR L'ETAT............

...."ET DE RIRE ABONDAMMENT"...!

ILS ATTENDENT 200.000 ENREGISTREMENTS DE VISITEURS & VISITEUSES...
.....POUR COMBIEN DE MILLIONS DE LECTEURS & LECTRICES.....LA NOCTURNE FUT DECEVANTE ............

.....TROIS FOIS MOINS QUE POUR LE SALON DE L'AGRICULTURE .....
....CETTE ANNEE AU SALON DU LIVRE...... LES VACHES SERONT MAIGRES ...........!!!
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LE SALON AURAIT PU EN PROFITER POUR RELAYER UNE CONFERENCE SUR LE ROMAN & LES MEDIAS QUI A EU LIEU A ALGER...

....QUE NOUS VOUS PRESENTONS VOLONTIERS......COMME DEBAT CITOYEN UTILE SANS FRONTIERES.......LE PROBLEME SE POSE EN FRANCE AUSSI A PART "LA GRANDE LIBRAIRIE" SUR LA CINQ à 20h30..C L'INFO"..PLUTÔT "PEOPLE-GASTRO"....... LES INVITES LITTERAIRES DANS "ON N'EST PAS COUCHES" PAR UN COUPLE CRITIQUE PLAISANT & PERTINENT...... .....LA RUBRIQUE DES LIVRES DANS LE MAGAZINE DE LA SANTE TOUJOURS SUR LA CINQ PAR UN LIBRAIRE TRES SYMPA ...AU FIL DE LA NUIT SUR TF1 à 2h45 APRES LES POLICIERS AMERICAINS ...

ET LA PRESSE ECRITE QUI EST ESSENTIELLE 

...& A LA RADIO QUI FAIT BEAUCOUP POUR L'INDUS TRIE DU LIVRE QUI INVESTIT DANS LA PUB.........AVEC LES BONS CONSEILS DES ATTACHE(E)S DE PRESSE 

Au passage sur le site du Salon ur la page des communiqués de presse & Dossiers de Presse & KITS PRESS divers, encore hier la société qui gère les relations & l'espace presse s'intitulait au-delà de son nom commercial, "agence de Presse" (une usurpation de dénomination protègée depuis 1945) invités à le retirer par la fédération des Agences de Presse .......sous peine de poursuites judiciaires prévues par lois & décrets ou des gens ont été en prison.......depuis 1945........)..

Au Ministère de la Culture qui a en charge aussi,  en dehors d'agir pour promouvoir le secteur de l'Edition, les Agence de Presse par la gestion des commissions paritaires où l'état siège....... nous imagineons l'embaras à venir.......!!!!........la nouvelle ministre avait-elle besoin de cette petite épine peut-être 
tombée d'une rose.......?

....les gens de communication sont parfois légers & peu responsables......pensant être hors d'atteinte parcequ'on aurait besoin plus d'eux & elles qu'ailleurs .....comme naguère en politique.....!!!.......lorsque Lundi les lampions seront eteints....que leur adviendra-t-il ?.......la fréquentation sera plus faible que les autres années ......comme pour tous les salons........"Agence de Presse"....ah!ah!ah!.....

......ils & elles ne savent pas à quelle réalité professionelle très précise cela correspond & représente la vie économique de tout un secteur qui joue un rôle essentiel pour la profession de la Presse.......& ne pas savoir......c'est un déficit de connaissance & de culture.............

DIMENSION SANS FRONTIERES DU SALON "LE LIVRE DE PARIS 2016.......

.......NE PAS OUBLIER QUE DANS LES CAMPS DE REFUGIES MIGRANTS LES GENS LISENT BEAUCOUP GRÂCE AUX ASSOCIATIONS

........ET DANS LES STRATEGIES GEOPOLITIQUES DE RECONSTRUCTION EN PARTICULIER EN SYRIE TERRE D'ADOPTION DE CULTURE & DE LECTURE FRANCO PHONE...IL FUT UN TEMPS EN TEMPS DE  PAIX......SOUS LA PROTECTION DU PARTI BAASS(BAATH).....DAMAS & ALEP ETAIENT DES DESTINATIONS CULTURELLES FRANCOPHONES DE TRADITION SYRIENNE, LES GENS DE TURQUIE D'IZMIR & ISTAMBUL ACCUEILLANT DES GENS DE BEYROUT A L'EPOQUE EN GUERRE, DES PALESTINIENS DE TRADITION FRANCOPHONE....VOIR DES JUIFS FRANçAIS  MALGRE LE SENTIMENT DE "NAQBA" (HUMILIATION) VIS A VIS D'ISRAEL MAIS LES SYRIENS N'ONT JAMAIS DEVELOPPE D'ANTI-JUDAISME 
PRIMAIRE OFFICIEL MALGRE LA PRESENCE D'ALOIS  BRUNNER AUPRES DU POUVOIR....

.....MAIS AUSSI D'UNE COMMUNAUTE JUIVE IMPORTAN TE AVEC DES RESPONSABILITES ECONOMIQUES & SO CIALES DE TRADITIONS HISTORIQUES ARABES, DRUZES & MEDITERRANEENES......

SUR CETTE TERRE.....QUI EST .....LA TERRE DU POETE ADONIS....... ...ENTR'AUTRES.....

......PENSER A INTEGRER LA RESTAURATION, RECONSTRUCTION OU CONSTRUCTION D'ESPACES EDUCATIFS & CULTURELS DANS LES NOUVELLES APPROCHES DE LIEUX DE VIE  DE RECONCILIATIONS DES VILLES & CAMPAGNES 

                           Le serpent à plumes(jgjais "nouvelliste en chef.."
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POUR CE QUI NOUS CONCERNE........NOUS METTRONS EN PLACE DE NOUVEAUX OUTILS NUMERIQUES CRITIQUES SUR LA PRODUCTION LITTERAIRE PARISIENNE & HORS PARIS DES PROFESSIONNELS DE LA PROFESSION JUS QU 'AUX INDEPENDANTS SANS BUDGETS & AUX COMP TES D'AUTEURS & E-BOOKERS AUTO-ENTREPRENEURS D'EDITION POUR LE GRAND PUBLIC & LA PRESSE....

......ET PARCEQUE NOUS SOMMES ENGAGES POUR DE FENDRE  LES "LUMIERES CULTURELLES" SANS FRON TIERES , NOUS PREPARONS UNE INITIATIVE PAR UNE ACTION POUR LA VALORISATION DE L'OEUVRE COM PLETE DE Sir SALMAN RUSHDIE.....
....SUR TOUTES LES FORMES D'EXPRESSIONS EXISTAN TES & A VENIR....
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source : "EL WATAN"



Débat à Alger sur la présence du roman dans de la presse

«L’éditeur doit œuvrer pour rapprocher ses auteurs des médias»

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le 15.03.16 | 10h00 Réagissez
«L’éditeur doit œuvrer pour rapprocher ses auteurs des médias»

Rendez-vous avec le roman», l’espace littéraire hebdomadaire qu’anime Samir Kacimi au palais de la culture Moufdi Zakaria, à Alger,

 s’est ouvert, le 12 mars, au débat sur la présence du roman et des romanciers dans la presse algérienne. «La presse algérienne ne sert pas beaucoup le roman. Pire, elle est injuste avec cette forme d’écriture parce qu’elle ne lui donne pas l’espace qu’elle doit avoir. Il en est de même pour les nouvelles chaînes de télévision qui réservent leurs antennes en grande partie au football. Au football, pas aux sports. Les autres pratiques sportives sont ignorées par ces chaînes, où l’information et les débats culturels sont presque invisibles», a estimé le journaliste Fayçal Métaoui. «On ne s’intéresse à un écrivain que s’il suscite une polémique par une déclaration ou une prise de position. Jamais les sujets portés par les romans ne sont soumis à débat. Souvent, les médias ne braquent leurs regards que sur les questions superficielles.
Le fond des choses est mis de côté», a-t-il relevé. Selon lui, certaines chaînes privées ne s’intéressent aux romans que lors du Salon international du livre d’Alger (SILA). «Après le salon, les romanciers cessent d’exister pour ces télés», a-t-il regretté. L’universitaire et romancier, Mohamed Sari, a relevé, pour sa part, que certains journalistes reprennent le résumé préparé par les auteurs eux-mêmes pour alimenter leurs articles. «Parfois, des journalistes nous appellent pour nous demander de leur envoyer un écrit sur nos romans. Ils disent qu’ils n’ont pas eu le temps de lire les livres. Donc, nous avons une occasion en or d’écrire ce que nous voulons de nos propres livres ! Cela dit, même les universitaires et les étudiants ne lisent pas les romans. Je suis enseignant et je sais ce que je dis», a-t-il noté, précisant que cette situation ne peut pas être généralisée à tous les professionnels de la presse. Selon lui, les romans d’Algériens parus à l’étranger ont plus de chances d’intéresser les médias que ceux édités en Algérie.
«Les écrivains algériens n’aiment pas être critiqués», a-t-il dit plus loin, citant les exemples de Tahar Ouettar, Rachid Boudjedra et Ahlem Mosteghanemi. Il a évoqué son expérience au quotidien Echourouk en 2002. «A l’époque, nous animions moi, Manour, Saâdi et Sahraoui une page littéraire hebdomadaire qui a été à l’origine de beaucoup de polémiques enrichissantes. A l’étranger, beaucoup de journaux font appel à des écrivains ou universitaires pour faire de la critique littéraire et présenter des livres», a-t-il noté.  Le poète et journaliste Brahim Seddiki a regretté le fait que les rubriques culturelles soient marginalisées dans les médias algériens comparées aux rubriques politiques ou sportives. «Au lycée ou à l’université, les filières littéraires sont mal vues, méprisées.
Cette logique fausse existe dans les médias», a-t-il souligné. Il est, d’après lui, difficile de présenter un roman dans la presse. «Mais il faut tout faire pour inciter les gens à lire les romans. Pourquoi ne pas publier les romans par épisodes dans les journaux pour susciter davantage l’intérêt des lecteurs», a-t-il proposé. Il a critiqué l’implication des romanciers dans les affaires politiques, ce qui déteint sur la valeur de leur écriture. «Nous constatons également les attaques entre écrivains, les insultes et les accusations. Le succès est combattu par certains, alors que d’autres portent de la haine à l’égard des romanciers. Désolant ! Tout cela nous éloigne du roman et de ce qu’il porte comme idées et visions», a ajouté Brahim Seddiki. Le journaliste Ameziane Ferhani a estimé, pour sa part, qu’il n’existe plus de barrières entre arabophones et francophones dans la presse. «Les jeunes n’ont plus de complexe par rapport aux langues. Ils passent d’une langue à une autre sans problème. Nous avons même un écrivain, Amara Lakhous, qui écrit en italien.
L’Algérien est donc en train de découvrir le monde et de l’investir. Dans le supplément Arts et Lettres d’El Watan, nous publions depuis deux ans des critiques de livres parus en arabe. Le quotidien El Khabar en fait de même pour les livres édités en français», a-t-il souligné.  Présent au débat, Azzedine Mihoubi, ministre de la Culture, a dénoncé l’inaction des éditeurs de livres par rapport à la promotion de leurs auteurs.  «Ils éditent des livres sans s’intéresser à la vie d’après-publication. Ils n’ont pas la culture de la promotion. Résultat: beaucoup d’excellents romans sont mort-nés. Les écrivains sont parfois obligés de promouvoir eux-mêmes leurs travaux», a-t-il déclaré. Pour lui, chaque éditeur doit avoir un service qui s’occupe de la lecture des manuscrits et un autre qui se charge de la promotion et de la distribution des ouvrages. «Le livre est également un produit. Il a besoin d’être appuyé par une action marketing.
L’éditeur doit œuvrer pour rapprocher ses auteurs des médias. Pour la critique littéraire, je pense que c’est d’abord une affaire de spécialistes, puisque le journaliste présente un livre sans aller dans les profondeurs du texte. Aujourd’hui, certains auteurs, comme Abdelkader Harichane, publient leur roman en partie sur Facebook. Donc, les supports ont changé», a précisé Azzeddine Mihoubi.
L’Algérie édite, selon lui, 8000 titres par an. Le pays compte actuellement 1193 éditeurs. Le ministre de la Culture a appelé les médias et les éditeurs à s’intéresser aux écrivains de l’intérieur du pays, ceux qui n’ont pas la chance d’avoir un micro ou d’être publiés. Il a annoncé l’ouverture prochainement de nouveaux espaces de débat pour le cinéma et pour le patrimoine culturel, qui seront animés respectivement par Salim Aggar et Mehdi Berrached. D’autres intervenants ont évoqué la faible présence du roman et du romancier algériens sur Internet et le nombre réduit de revues culturelles électroniques.
R. C.

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