lundi 23 février 2015

ACTUALITES INTERNATIONALES

CHINE ANNEE DE LA CHEVRE

BEIJING






L'Asie est entrée jeudi dans l'année de la Chèvre, aimable créature du calendrier lunaire chinois, dans un concert de feux d'artifice et de pétards entendu de Pékin à Singapour. Dès minuit, le ciel de la capitale chinoise s'est embrasé de millions de feux de bengale, et la foule a envahi les rues au son des pétarades censées éloigner les esprits malfaisants. Les Chinois ont passé ce jour le plus important de l'année en famille, ou au temple, cette célébration étant fêtée dans l'est et le sud-est de l'Asie.
Le président chinois Xi Jinping a présenté ses vœux dès mardi soir à 2.000 personnes réunies dans le décor grandiose du Grand palais du peuple, place Tiananmen à Pékin. «Nous sommes fiers de notre grand pays et nous sommes fiers de notre grande peuple», a-t-il déclaré. Ailleurs sur le continent, de grandes villes modernes étaient vidées de leurs résidents, ceux-ci ayant pris le chemin des pagodes et des berceaux familiaux à la campagne. Du côté de Hong Kong, les habitants assisteront vendredi à la traditionnelle grande parade navale nocturne dans la baie Victoria entourée de ses célèbres gratte-ciel.
Le calendrier lunaire chinois se déroule sur un cycle de douze années et attribue à chacune un animal. La chèvre vient en huitième position, succédant au cheval et précédant le singe. Les personnes nées en 1919, 1931, 1943, 1967, 1979, 1991 ou 2003 sont de ce signe. Selon les astrologues chinois, l'année 2015 devrait être moins agitée que 2014 du fait du caractère placide de la chèvre.
L’Asie entre dans l’année de la Chèvre
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ALGERIE
Communiqué
"Chute des prix du pétrole : NABNI axe son programme 2015 autour des solutions structurelles à engager dans l'urgence"
Icebergs en vue !  L’urgence n’est pas de freiner, mais d’engager de longs virages

Alger, le 22 février 2015 – Le Collectif NABNI a initié aujourd’hui son programme d’activités pour 2015, lors d’une rencontre-débat qui s’est tenu à Alger, autour des réponses à apporter, notamment à court-terme, à la chute du prix du pétrole.
Le Collectif a à cette occasion publié un nouveau texte, « Icebergs en vue !L’urgence n’est pas de freiner, mais d’engager de longs virages », sous forme d’un appel au changement de cap, dont les contours ont été présentés lors de cette rencontre et qui seront précisés et développés tout au long de l’année 2015.

Aujourd’hui, la chute du prix du baril ne rend que plus visible l’iceberg—ou les sérieuses difficultés auxquels le pays est confronté. Nous faisons face, comme en 1985, à un nouveau contre-choc pétrolier. Va-t-il durer ou est-il juste passager ?Cette question est presque secondaire pour notre pays : tant que nous resterons aussi dépendants de recettes d’hydrocarbures aussi fluctuantes, et que la mauvaise gouvernance qu’elles entretiennent perdure, nous resterons vulnérables à de graves difficultés. Cette chute des prix n’est qu’un rappel des difficultés qui nous guettent. Elle n’est pas un problème en soi, à moins qu’elle ne dure. Mais il est inutile de nous donner l’illusion que cette conjoncture est passagère en espérant un retournement des marchés.

Peut-être que le prix du baril remontera à des niveaux élevés. Peut-être que nous allons découvrir d’importantes réserves et que la production se redressera. Ce scénario optimiste est possible. Mais s’il n’y avait ne serait-ce qu’une seule chance sur cent qu’il ne se réalise pas (c’est malheureusement bien plus probable), notre Histoire douloureuse nous interdit de prendre le risque d’exposer la génération 2020 à un choc aussi désastreux que celui auquel on a fait face dans les années 1990.   Il est temps de s’imposer une nouvelle réalité, qui est probable : le déclin de la rente est peut-être engagé, il va peut-être durer.

L’urgence est d’engager immédiatement un profond virage économique dont les effets paieront plus tard: dans le court-terme, nous ne pouvons que subir les mauvais choix d’hier.
Le virage économique à prendre devra être amorcé par un plan d’urgence 2015 – 2017 qui marquera les premiers jalons du changement de cap et jettera les fondations d’une transformation profonde de notre ordre économique. L’objet du Plan d’Urgence que publiera NABNI prochainement n’est pas de proposer de simples mesures de réduction des dépenses ou des importations. Il s’agit d’identifier les réformes nécessaires et fondamentales, de court terme, qui permettront de créer les conditions d’une sortie de l’économie de rente.

L’iceberg économique n’est pas seul : d’autres enjeux sont tout aussi proches et menaçants—engager les virages pour les éviter offrira des opportunités de progrès social.

La conjoncture actuelle concentre les débats sur la transition économique, les difficultés budgétaires, et notre dépendance aux recettes des hydrocarbures. Mais des transitions tout aussi urgentes et majeures s’imposeront au pays au cours des deux prochaines décennies, sans quoi la transition économique, seule, échouera. Pour ne citer que celles que nous devrons engager le plus rapidement possible : unetransition énergétique ; une transition de notre système de redistribution sociale ; une transition de notre système de santé publique ; une transition environnementale et de développement durable ; une nouvelle approche d’aménagement du territoire, des politiques de la ville et du développement de nouveaux ensembles urbains pour faire face à l’urbanisation croissante ; etc.

Point de virage sans réparer le système de navigation et de gouvernance.
La réforme de la gouvernance constitue le socle du changement de cap auquel nous appelons, et que nous développerons plus en détail cette année. Il s’agit d’engager la transition vers un Etat de DROITS, qui soit Détaché de la rente,Redevable, Ouvert, Inclusif, Transparent et Stratège. Seules ces transformations, et plus généralement, la démocratisation de l’Etat, permettront de réduire ce fossé entre gouvernants et citoyens. Elles sont d’autant plus nécessaires que des réformes difficiles nous attendent. Celles-ci ne seront possibles que si la confiance et la légitimité des institutions sont rétablies.

L’heure n’est plus aux logiques de court-terme : il faut agir aujourd’hui pour éviter à la décennie 2020 le risque de très sérieuses difficultés. Il faut engager ces transformations immédiatement : elles sont urgentes, non pas parce que le prix du baril s’est écroulé, mais parce qu’elles mettront du temps à faire leurs effets. La chute du prix du baril n’est qu’une sonnette d’alarme malheureuseL’urgence et le besoin d’entamer ces changements, tout comme leur contenu, restent exactement les mêmes que lorsque le baril était à $120. La différence est qu’au niveau de prix actuel, s’ils ne remontent pas ou que notre production n’augmente pas, nous risquons bientôt de ne plus avoir les moyens de réformer sans coût social élevé. Finalement, peut-être que le seul aspect « positif » de cette nouvelle sonnette d’alarme est de faire prendre conscience de l’urgence de ces changements fondamentaux. Car ne rien faire revient à prendre le risque de léguer de très sérieuses difficultés et des caisses vides à la « génération 2020 », en lui imposant un ajustement qui risque d’être bien plus douloureux et brutal que si nous l’entamions aujourd’hui.
Plan d’Urgence, Virages, gouvernance et comment faire pour engager le pays vers une « Algérie rêvée à 2030 » : c’est la feuille de route de Nabni pour l’année 2015. 
NABNI se propose, au cours de 2015 et au-delà, de construire un projet participatif autour d’activités qui racontent et dessinent les grands changements et les transitions fondamentales et structurelles que doit opérer notre pays dans les 15 ans à venir : d’une part, en imaginant collectivement l’Algérie rêvée à 2030; d’autre part, en décrivant les grands Virages structurels à engager sans attendre, dans plusieurs domaines, et qui s’étaleront sur les dix ou quinze ans à venir ; également en décrivant les fondements de bonne gouvernance qui doivent guider ces changements—l’Etat de DROITS ; en décrivant le « Comment s’organiser pour mener le changement ? », ou l’ossature institutionnelle et organisationnelle de l’Etat pour mener à bien ces transitions; et, enfin, en traçant le début de certains Viragesurgents pour répondre au « Par où commencer ? » en développant un Plan d’urgence à deux ou trois ans.
A propos de Nabni
Depuis Avril 2011, animés par la volonté de voir se développer leur pays, des Algériennes et des Algériens ont mis en commun leurs compétences pour lancer le collectif NABNI, dont les travaux reposent sur une approche citoyenne, indépendante et participative pour formuler des propositions constructives et concrètes pour répondre aux défis auxquels l’Algérie fait face.
En 2011, l’équipe a publié son premier rapport : « 100 mesures pour une Algérie Nouvelle », suivi, début 2013, de du rapport du Cinquantenaire de l’Indépendance Nationale : « Cinquante chantiers de rupture pour bâtir l’Algérie de 2020 ». Le 22 février 2014, le collectif a publié un Manifeste pour une voie nouvelle. Toutes les publications de NABNI sont disponibles sur www.nabni.org. Les activités du collectif peuvent aussi être suivies sur sa page Facebook, Nabni 2012, qui constitue un espace d’échanges.
Contact : redaction@nabni.org ; contact@nabni.org
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DAESCH.....TOUT LE MONDE S'Y PREPARE :
LE PSEUDO ETAT ISLAMIQUE VA CONNAÎTRE L'ENFER.....!!!

Le Porte-Avions Français Charles De Gaulle sur zone, le renforcement militaire par Vladimir POUTINE de Bachar el ASSAD Le Président de la Syrie, , la Turquie, la Jordanie, L'Egypte, L'IRAN & Le HEZBOLLAH....& Israel.....& La coalition Internationale dont les USA..se préparent.....!!!!

Quand aux Shebabs menaçants & harogants  de Somalie... .....les pauvres...
..Ils ne savaient pas qu'il ne faut pas menacer les grands comme ça....!!!!!
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Ceux & celles qui sont en Syrie & Irak, là-bas ont intèrêt à se débrouiller à rentrer vite,  même si certain(e)s en ont déjà été empêché(e)s & stoppés par le fer & le sang(cela sent déjà le début de la fin), car selon des sources arabes  locales de bonne foi, des armes non conventionelles tollérées risquent d'être utilisées pour neutraliser directe ment définitivement les dirigeants & les groupes armés de DAESH......comme il y a 25 ans au NICARAGUA....genre bombes à Neutrons......dont les stocks ne seraient pas complètements détruits....... 


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