samedi 1 novembre 2014

MEDITERRANNEE :DES INITIATIVES SUR LES INDUSTRIES CREATIVES EN AFRIQUE & MAGHREB......EN NOVEMBRE AU MAROC & DECOUVRONS L'ASSOCIATION RACINES ......

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1°NOVEMBRE 1954
60° ANNIVERSAIRE DU DECLENCHEMENT DE LA GUERRE DE LIBERATION


Source "liberté algérie"...1°novembre 2014
DILEM-CARICATURE


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source : "liberté "__________________________________________

RADAR / ACTUALITÉS

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Une occasion pour honorer d’éminents membres de la communauté algérienne au CanadaLe 60e anniversaire du 1er Novembre célébré avec faste à Montréal
Le traditionnel gala d’excellence de la fondation Club Avenir, une organisation sans but lucratif fondée en 2002, intervient, cette année, dans le cadre du 60e anniversaire de la proclamation du 1er Novembre 1954. Plusieurs compatriotes seront récompensés à cette occasion pour s’être distingués dans divers domaines d’activité. Le gala vise à rendre ainsi hommage aux réalisations exceptionnelles des membres de la communauté algérienne au Canada. Des prix symboliques seront donc remis à l’occasion de ce gala qui verra la participation de la diva de la chanson gnawie, en l’occurrence Hasna El-Becharia, surnommée la “Rockeuse du désert”, qui se produira avec le concours de la boîte SN production Inc. La soirée sera organisée samedi 1er novembre à Montréal avec l’appui des autorités diplomatiques algériennes. Dans le même sillage, l’ambassade d’Algérie à Ottawa et le consulat général d’Algérie à Montréal organisent, à cette occasion, des rencontres avec la communauté nationale établie au Canada.
AU CANADA C'EST PLUS FACILE, EN FRANCE CELA MERITE DU COURAGE !

     il manque une association comme feu l'amicale de algériens en europe
     l'association DIASPORALGERIA est un peu timide

     Il faudrait une fondation think thank........."alger-paris magazine"......ils ont raté l'occasion  apparemment......dommâge.....!!....les ambitions ne sont pas à la hauteur de l'audace nécessaire vis à vis des supposés blocages psycho auto-censurés.....

 comme à l'association France-Algérie où on est entre soi (le prix cette année pour un ami du quai d'Orsay dont la mission est de faciliter les relations France-Algerie..
....rien de remarquable.......bonjour les connivences faciles alors que l'ONG CFSI pour le quai d'Orsay pilote un programme(JOUSSOUR-PCA-ALGERIE) de formation & de réseautage d'associations algériennes en bînômes avec des associations françaises & des collectivités & qui ont besoin de plus de visibilité que le haut fonctionnaire français....

....Mr Jean-Pierre CHEVENEMENT....
...Président de France-ALGERIE 

nous avait habitué à plus d'audace dans sa vie politique...

.....tout ça sent la naphtaline & les vieux jouets dont les Algériens d'aujourd'hui & de Demain n'ont plus besoin...
...aujourd'hui Américains & Chinois ont mieux à proposer........cqfd.......

                                                                    Le Serpent à plume 

                                                                   jgj.labelm.interpanorama@gmail.com
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Societe Algerienne 60 ans après le désir de Liberté & 
de Dignité


source : "GROTIUS international"

BAB EL OUED un nom si symbôlique.....presqu'un pays en soi.....!!!!..qui pourrait au prisme du Mirroir.. .......résumer l'ALGERIE...!!!


Il y a des gens attachants qui ne sont pas fermés même chez les "barbus" & les femmes voilées qui passent la porte de l'association pour l'intèrêt des enfants...

Savez-vous que même chez ceux qu'on appelle "les voyous", (un mot qui fait mal quand on laisse croire que c'est la seule activité à Bab el oued,le quartier le plus commerçant d'Alger), quand on les traite en humains........ils peuvent être des gens biens, & sans se mon trer,.....en toute discrétion......certainement de belles personnes......la jungle ce n'est pas forcément nuit & jour ......on peut se reposer ........& s'autoriser à être comme les autres.....de temps en temps & qui sait un jour oser pousser la porte d'une association.....& s'impliquer......eux aussi pourraient avoir à en apprendre aux enfants.....& eux aussi échanger & apprendre si on les respectent .....avec dignité........& arriver à laisser "Madame COURAGE"......à la porte.......ou aller la dissoudre dans l'eau de mer ......en respectant les poissons & les oiseaux...... ...qui nous font rêver......par le rap ou tout autre mode d'expression........les voyous peuvent aussi se découvrire & nous étonner en sortant de leur chrysalide de poètes & d'oiseaux de bonne augure.......NI LA JUNGLE NI LA GALERE NE SONT DES FATALITES...........!!!!

(ndlr : nous irons & vous raconterons..& La VIE A ALGER & dans les autres Villes....!!!!...Pour les autres soixantes années à venir...

....pour cette formidable ALGERIE (chutt,....nous y sommes nés..!!!)

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source : "grotius international 2013"
VIVRE ENSEMBLE À BAB EL OUED


Jeune de l'association apprenant la guitare
© Sarah Elkaïm
A l’association SOS Bab El Oued, quartier populaire d’Alger, l’équipe œuvre depuis le milieu des années 90 à créer du lien social, à rapprocher les générations, à porter des valeurs de tolérance, d’entraide. Créée et toujours présidée par Nasser Meghenine, elle poursuit sa vocation de « socialisation de la culture ». Entendre : pas la culture des ministères, des festivals vitrines de l’Etat, réservés à l’élite, quand les salles de cinéma, de concert, les librairies sont de plus en plus rares. Cours de soutien scolaire pour les enfants, encadrés par leurs aînés, cours de musique, ciné-clubs, tournage et montage de courts-métrages, salle de répétition pour les musiciens… Ici, ça vit tout le temps, ça entre, ça ressort, ça discute…
« L’association est née pendant la décennie noire, en hommage à ceux assassinés par la horde intégriste, dont mon frère en 1994, un cousin en 1995, une amie journaliste la même année… » énumère Nasser. Acteur culturel, leader de trois groupes de rock et de variétés dans sa jeunesse, Nasser, « un demi siècle », est présent tous les jours. Avec sa femme Djamila, enseignante et vice présidente de l’association, ils travaillent, avec les 44 membres actifs, à rester « un poste avancé de la république ». Un lieu de résistance à l’enlisement qui irrigue tous les pores de la société algérienne. « On est toujours surveillés comme du lait sur le feu, » explique-t-il. Aujourd’hui, il est inquiet. Le gouvernement vient en effet d’adopter une loi interdisant les financements étrangers aux associations. Or, SOS ne vit que de ça. En attendant, ils poursuivent…
CINÉMA ET DÉBAT POLITIQUE
tag sur les murs de Bal El Oued
© Sarah Elkaïm
Cet après-midi, Yacine Teguia, producteur de cinéma (il a produit les films de son frère Tariq, les très beaux Rome plutôt que vous et Inland), anime le ciné-club qui réunit une vingtaine d’adolescents, presque autant de filles que de garçons. Au programme : Le sel de la mer, de l’Américaine d’origine palestinienne Annemarie Jacir. Ce n’est pas la première fois que le public de SOS débat autour de la question palestinienne, à travers le ciné-club. Tous sont très au fait de la situation dans les territoires palestiniens, une cause qu’ils portent haut. Aux murs de l’association, les portraits de Che Guevara sont partout. La lutte politique n’est jamais loin… En janvier dernier, c’est de ce quartier populaire de Bab El Oued que sont parties les émeutes, dans la lignée du mouvement tunisien. Après le film, le jeune Youssef, qui manie aussi bien la guitare que le montage de films, engage le public à s’exprimer. La belle Asma, 20 ans, longs cheveux libres ondulant sur ses épaules, se dit « très émue, très touchée » par l’histoire : « J’en ai eu la chair de poule… Et j’ai trouvé que c’était triste, aussi ». Yacine engage alors le débat sur la ressemblance entre les Juifs et les Arabes, conseille de lire Mahmoud Darwich, Edward Saïd…
Les valeurs de tolérance, toujours. Le Père Denis, figure du Secours Catholique qui soutient l’association depuis ses débuts, rejoint les jeunes et raconte son propre voyage à Al Qods, le nom arabe de Jérusalem. Les ciné-clubs sont un espace de parole permanent, alors que les lieux où peuvent se rencontrer les jeunes se font de plus en plus rares à Alger. La projection de Certains l’aiment chaud, de Billy Wilder, a ainsi été l’occasion d’aborder l’homosexualité. Dans les mois qui viennent, l’association projettera des films aussi variés que Le petit soldat de Jean-Luc Godard, Spartakus de Stanley Kubrick ou encore Mississipi Burningd’Alan Parker.
Au sous-sol, le groupe Afrockaine achève sa répétition. Ils ont autoproduit leur album et organiseront le 19 janvier un concert dans une des rares petites salles du centre d’Alger. Il est 19 heures, SOS va fermer… Brahim, 29 ans, à la tête d’un groupe de rap et de graffeurs, qui vit de petits boulots et de débrouille, rapporte à Asma une paire de baskets à bon prix. Les ados plaisantent sur leurs chaussures respectives : « Toi t’as une paire turbo ! » « Moi j’ai des baskets diesel ! » Les rires s’échappent dans la rue sombre et froide de ce mois de décembre. Chacun rentre chez soi en pensant aux prochaines retrouvailles.
« LES FILLES, SE SONT LES PLUS ACTIVES ICI ! »
Quelques jours plus tard, de retour à SOS Bab El Oued, nous rencontrons les jeunes qui s’occupent du soutien scolaire des petits. En Algérie, les instituteurs ne suivent pas de réelle formation. Bien souvent, on confie une classe à un jeune sorti d’une filière de langue ou de sciences humaines à l’université, dont on ne sait quel débouché lui offrir. Le système éducatif est bancal, les enfants accumulent les retards. Sabrina, qui est aussi à la tête d’un groupe de rock, Eclipse, où elle joue de la batterie, donne des cours de français à cinq gamins. Au fond, Lila donne un cours particulier à la jolie Nouzra, tout en sourires. « Elle a de la chance d’avoir un cours particulier ! » s’exclame-t-on. « Non, c’est moi qui est de la chance ! » répond Lila. « La maman de Nouzra est voilée des pieds à la tête, raconte Nasser. Quand Nouzra est ici, c’est une autre petite fille, une rebelle un peu ! Je dis toujours à sa mère de laisser la politique, la religion, de côté. De laisser la petite grandir, bâtir sa propre réflexion. Les enfants, c’est l’avenir, et le lien permanent entre nous et leurs parents. » Petit à petit, ces derniers prennent conscience de l’apport de l’association. Et prennent confiance envers ses membres bienveillants, à l’écoute.
Parmi les enfants, il y a ce jour-là une petite voilée. Elle se plaint que la musique venant d’en bas soit un peu trop forte. « Après le cours, je l’ai emmenée dans la salle de répétition, raconte Sabrina. Elle était ravie ! Elle n’arrêtait pas de sourire, découvrait que la musique ce n’est pas cet interdit de l’islam dont on lui rabâche les oreilles à la maison ! » « On revient de loin, enchaîne Nasser. Les barbus sont toujours tout autour. Je sais exactement qui a tué qui dans les années 90… Quand je vois une belle femme non voilée dans le quartier,dit-il devant une maman venue chercher son fils, c’est un combat de gagné ! Les filles, ce sont les plus actives ici… »
« POURQUOI NOUS ? »
Brahim nous entraîne dehors, nous traversons les rues pleines de vie de Bab El Oued, les étals « formels » et « informels ». Nous arrivons en plein quartier « Richelieu », entre « La Butte » et « Trois horloges », le cœur de Bab El Oued. « Tu vas voir, mon jardin il est trop beau ! » ironise le jeune homme. Juste derrière la mosquée Nas’r (la victoire), un jardin avait été construit. Attenant, il devait y avoir un terrain de pétanque. Ce n’est aujourd’hui qu’une crevasse béante que jouxte un tas d’ordures. « Tu imagines si des enfants avaient été en train de jouer ici quand ça s’est effondré ? » s’indigne Brahim. Il dit le dégoût du mépris – la hogra, comme on dit en algérien – dont les jeunes se sentent victimes. Il dit qu’ils sont « entre le paradis et l’enfer », dans ce « jardin » entre le lieu de prière et une usine désaffectée. Sur les murs de l’usine, le long du trottoir, Brahim et ses copains Omar et Hicham ont tagué leurs espoirs, leurs colères. Un drapeau palestinien côtoie un « Merde la police », un « Souffre et tais toi, et si tu es un homme, rappelle-toi », et une inscription de toutes les couleurs : « Pourquoi nous ? » Juste en-dessous, la bannière de Brahim et ses potes : « 100 % contre ceux qui ont détruit notre quartier ». Une carcasse de voiture brûlée, marquée « Pimp my ride », référence ironique à une célèbre émission de télé sur la chaîne américaine MTV, jure au milieu des voitures neuves. « Ça symbolise notre société, explique Brahim. Si tu ne résistes pas, si tu n’aspires pas à être comme ces voitures neuves, tu deviens la voiture pourrie ».
De retour à SOS, nous croisons Nassima, adhérente depuis 5 ans. Elle prépare une licence en allemand, est monitrice et musicienne. « J’avais trois groupes de rock aussi avant, dont « River Gate » pour Bab El Oued(Bab El Oued signifie en arabe « porte du fleuve », ndlr). On est passé récemment à la radio, j’étais interviewée, et j’ai eu de très gros soucis car ma famille est très conservatrice ». Nassima a couvert ses cheveux d’un voile, elle continue coûte que coûte ses activités au sein de l’association. En ce moment, elle sous-titre en allemand un film sur le quartier. « Les vieux, y’en a deux catégories, juge Jamil, alias « Lhadi », 23 ans. Ceux qui pensent que l’association est indispensable, voire obligatoire, et ceux qui sont religieux, conservateurs, qui sont contre la mixité… » Tout juste diplômé en virologie, Lhadi vient de rejoindre de nouveau l’association, qu’il a connu à l’âge de 14 ans. Il sera chargé des cours de soutien scolaire en maths et en physique. Pour lui qui a grandi dans ce quartier où « on a une réputation de délinquants », SOS Bab El Oued permet de véhiculer une nouvelle image. Son slogan est placardé sur ses affiches : « Ne laissez pas les autres décider à votre place ». A SOS, les jeunes décident de leur vie, de leurs goûts, de leurs amis. Un reflet, comme un espoir, de l’Algérie de demain ?

Sarah Elkaïm

SARAH ELKAÏM

Sarah Elkaïm est journaliste, Chef de la rubrique Arts & humanitaire de Grotius International. Elle collabore régulièrement à Afrique magazine et à Critikat.com.
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source : "algerie focus"
Par   | octobre 13, 2014 9:49
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A Bab El Oued, une association oeuvre depuis plus de 10 ans pour offrir musique, théâtre et soutien scolaire aux enfants du quartier. Dans les locaux colorés de SOS Bab El Oued, on aide la jeunesse à reprendre confiance en l’avenir. 
Samedi 11 octobre, 16h30. Les locaux de l’association SOS Bab El Oued sont presque vides. Les enfants, venus pendant l’après-midi pour les cours de soutien, sont rentrés chez eux. Ils ont laissé la place aux plus âgés, des jeunes adultes qui viennent discuter quelques instants avec Nasser Meghenine, le président de l’association.
Parmi eux, Abdelnour, un habitué des lieux. « Haut de 2 mètres et tout maigre », comme il se définit lui-même, il porte un maillot de foot rouge et un short kaki. Il traîne difficilement ce corps trop grand, le dos voûté, caché sous sa casquette, dissimulé derrière de grosses lunettes à la monture noire. Lorsqu’il parle, il garde les yeux rivés au sol, et ne semble s’adresser qu’à lui même. Pourtant, Abdelnour n’a pas la langue dans sa poche, et confie ses frustrations sans réticence. « Ici il n’y a que les loups, le kif et la police », lâche-t-il avec amertume.
Né à Bab El Oued, Abdelnour habite toujours le quartier. Il vit avec ses parents et son frère, « encore plus fou que [lui] ». Chez lui, l’ambiance est tendue, car la communication est impossible. « À la maison, il donne l’image d’un raté, alors ses parents ne se rendent pas compte qu’ils ont une lumière chez eux », affirme Nasser.
Sorti de l’école sans diplôme, Abdelnour cherche un petit boulot. Mais Bab El Oued et ses habitants ont mauvaise réputation, de sorte que les employeurs refusent systématiquement de lui faire confiance. « J’ai constaté qu’en Algérie, si tu sors de l’école à 20 ans, il n’y a rien. J’ai cherché, j’ai déposé des CV partout, j’ai rien. Pourquoi ? Mon adresse : Bab El Oued [...] On me dit « Reste dans ton quartier, vas-y vole, vole, vole » », explique le jeune homme.
Seul exutoire à sa colère : le slam, qu’Abdelnour pratique depuis deux ans à l’association. « Des potes m’ont parlé de l’asso. Comme je suis curieux, je suis entré, on m’a ouvert les bras. Maintenant Nasser c’est comme mon père », confie-t-il. Quand il slame, Abdelnour se redresse, sa diction se fait plus précise et son visage s’éclaire. Il vit ses rimes. Affûtés comme des lames de rasoir, ses mots n’épargnent personne. « Le slam me soulage beaucoup, toutes ces choses qui sont dans ma tête et dans mon cœur ressortent par mon stylo ».

Deux enfants du quartier au service des jeunes de Bab el Oued
Cette jeunesse qui ne possède rien d’autre que ses frustrations, c’est précisément pour elle que Nasser a créé SOS Bab El Oued. Depuis 2001, l’association accueille dans ses locaux colorés les enfants et les adolescents du quartier.
« Avec le père Denis [également membre fondateur de l’association, ndlr] on a constaté que la jeunesse est la frange délaissée de la société, surtout dans les quartiers populaires, explique Nasser. L’État n’a pas de politique claire pour la jeunesse, pas de projet de société. Les jeunes qui sont ici, qu’est-ce qu’ils seront devenus dans 20 ans ? » SOS Bab El Oued œuvre donc pour offrir à ces jeunes des perspectives. « On ne travaille pas pour aujourd’hui mais pour demain », précise le père Denis.
Nasser et le père Denis, tous deux enfants du quartier, se sont rencontrés en 2001, pendant les inondations qui ont sévèrement touché le quartier.
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La rencontre avec le père Denis a permis à Nasser de concrétiser un projet qui lui tenait à cœur depuis longtemps. Pourtant, avant la décennie noire, cet ancien manager d’un groupe de rock était bien loin d’imaginer qu’il deviendrait un jour président d’une association. Le militantisme, il trouvait ça « gaga ». Mais en 1995, son frère, commandant dans l’armée, est tué dans un attentat terroriste. Ce drame est le « déclic » qui décide Nasser à agir pour « casser la peur ».
Changer l’image que l’on a de soi et des autres
« La décennie noire a marqué la mentalité collective, surtout dans ce quartier de Bab-el-Oued. Avec SOS, nous avons voulu changer la donne, explique le Père Denis. Or, pour faire cela, il faut changer les représentations individuelles ».
Nasser et le père Denis ont compris que, pour faire évoluer les mentalités, l’assistance ne suffit pas. Ils ont donc mis en place un projet de développement, s’inscrivant dans la durée. Comme le dit le slogan de l’association, il s’agit pour eux de « transformer leurs convictions en action ». Toutes les activités proposées par l’association visent donc à changer l’image que chacun a de soi et des autres.
Par la musique et le théâtre, les enfants et les adolescents développent leur créativité, apprennent à travailler en groupe, à s’organiser, et reprennent ainsi confiance en leurs capacités.
Pendant les cours de soutien, ils n’acquièrent pas uniquement des compétences scolaires. Dans la classe de Meriem Tazerout, qui donne des cours de français aux élèves de primaire, les enfants découvrent la mixité. « À l’école, les filles et les garçons sont séparés. Ici, on mélange, je mets les filles et les garçons côte à côte, explique Meriem. Au début, les petits sont réticents, ils n’aiment pas trop, mais après ils s’habituent, ils deviennent des camarades. »
Même les bénévoles sont concernés par ce projet de changement des mentalités. Les professeurs de l’association sont pour la plupart des jeunes du quartier au chômage, auxquels SOS Bab El Oued donne la possibilité d’être considérés à leur juste valeur. « Ces jeunes sortent de la fac et ne trouvent pas de boulot. On les accompagne dans leur détresse pendant quelques années, en leur donnant un travail au sein de l’association. Les jeunes sont valorisés, on leur redonne confiance. Souvent, au bout de 2-3 ans, ils trouvent du travail à l’extérieur », explique Nasser.
Abdou, ingénieur en génie civil, correspond précisément à ce profil. Malgré ses candidatures répétées, il est au chômage depuis qu’il a obtenu son diplôme. Joueur de banjo au sein d’un groupe de chaâbi, il venait au départ à SOS Bab El Oued pour répéter avec ses amis. Il est aujourd’hui professeur de mathématiques au sein de l’association.
Au-delà de l’action de proximité, SOS Bab El Oued œuvre donc pour la promotion d’une Algérie marquée par la laïcité, la mixité, le pluralisme, la tolérance, le partage et la solidarité. Un projet de société qui a aujourd’hui convaincu de nombreux habitants du quartier. Rien que pour l’inscription aux cours de soutien pour l’année scolaire 2014/2015, l’association a dû refuser 800 demandes. « Notre problème, c’est qu’on a plein de gens qui nous aiment, mais pas l’espace pour les accueillir », constate Nasser. « Dans le quartier, SOS est la seule association de ce type, les habitants en ont besoin », renchérit Meriem.
Le besoin est considérable, et la demande ne cesse de croître, ce qui rend le travail des bénévoles parfois frustrant. « C’est tout le temps compliqué, parce que les jeunes demandent la lune. Nous on doit leur faire comprendre qu’il faut y aller étape par étape », explique Nasser.
Malgré cela, SOS Bab El Oued n’a rien perdu de son humanité. L’association ressemble aujourd’hui à une grande famille. Surnommés “Tonton” et “Tata”, les deux présidents, Nasser et sa femme Djamila, sont restés les parents de tous les enfants du quartier qui viennent trouver refuge entre leurs murs.
Agnès Nabat et Philippine Le Bret
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LES JEUNES CREATEURS ALGERIENS GAGNERAIENT A ALLER AU MAROC POUR LES RENCONTRES DES INDUSTRIES CREATIVES
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BAB EL OUED....."...DE SA MERE..."...!!!!!

QUAND LES ANCIENS HABITANTS DE BAB EL OUED RETROUVENT LEUR QUARTIER OU ILS & ELLES SONT NE(E)S & DE LEUR ENFANCE, LA MEMOIRE DU COEUR NE S'EFFACE PAS MÊME DEVANT CELLE DE LA POLITIQUE PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE DE L'HISTOIRE DU DENI DE REALITES SOCIALES & HUMAINES DE L'EPOQUE..............

LES RETROUVAILLES SE SONT FAITES COMME ON AURA RÊVE LE VIVRE ENSEMBLE SANS LE SANG LES LARMES & LES RANCOEURS PASSEES, AUJOURD'HUI PAR L'HOSPITALITE FRATER NELLE NATURELLE ALGERIENNE AVEC LE SOURIRE & UN PARFUM DE BONHEUR & PARFOIS L'HEUREUSE SURPRISE DE LA CHALEUR HUMAINE AVEC LAQUELLE ILS ONT ETE  PAR TOUT BIEN AC CUEILLIS.........C'EST NORMAL...& SOUVENT ON A BIEN DU MAL A SE QUITTER A CHAQUE OCCASION ON A DU MAL A QUITTER L'ALGERIE....... ALGERIEN(N)E OU PAS.......!!!!!

..............C'EST BAB EL OUED....!!!!!

....UN QUARTIER DUR A L'OUVRAGE.......MAIS TOUJOURS AUSSI CHAUD.......VIVANT......DU COMMERCE OU D'AUTRES CHOSES...
.....MAIS TOUJOURS AUSSI CHALEUREUX.........OU TOUS LES HABITANTS SONT DES GENS BIENS DES LAICS AUX HYPER RELIGIEUX DES COMMERçANTS AUX VOYOUS.......!!!!
....CE QUARTIER QUI EST LE REIGNE DES ALGER.....ROIS...AH!..AH!....AH!.......

ON AURAIT PU RÊVER QU'ILS AIILENT POUSSER LA PORTE DE L'ALGERIE D'AUJOURD'HUI ....A L'ASSOCIATION "SOS BAB EL OUED' & PARLER A DES ENFANTS DE BAB EL OUED........


 DECOUVRIR

L'Etat des enjeux des Industries Créatrices :

http://www.teraconsultants.fr/fr/actualites/2014/Conference-de-presse-La-contribution-des-industries-creatives-a-l-economie-de-l-Union-Europeenne-en-termes-de-PIB-et-d-emploi

http://www.technopole-anticipa.com/Numerique-et-Industries-creatives.html

http://expositions.mundaneum.org/fr/conferences/les-industries-culturelles-et-creatives-en-debat

INITIATIVE EN NOVEMBRE INTERAFRICAINE SUR LES INDUSTRIES CREATIVES.......A SUIVRE.....DE TRES PRES 
(NOS ANALYSES A SUIVRE DES LUNDI)

http://www.racines.ma/

http://africacreativeconference.com/fr/
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LES EVENEMENTS IMPORTANTS SE PRECISENT :


Conférence de presse - 04/11/2014 - مؤتمر صحفي



النسخة العربية أسفله
CONFERENCE DE PRESSE
Mardi 4 novembre 2014 à 10h30
Hôtel Mövenpick – Casablanca
Rond Point Hassan II, 20070 – Casablanca
Tél. +212 5 224 880 00
ETATS GENERAUX DE LA CULTURE AU MAROC
4ème EDITION DE LA CONFERENCE INTERNATIONALE SUR L’ECONOMIE CREATIVE EN AFRIQUE
VISA FOR MUSIC, LE SALON DES MUSIQUES D’AFRIQUE ET DU MOYEN-ORIENT
L’association Racines, Arterial Network et Visa for Music ont le plaisir de vous inviter à la conférence de presse qui se tiendra le mardi 4 novembre 2014 à 10h30 à l’hôtel Mövenpick, à Casablanca, en présence de Monsieur Mohamed Amine Sbihi, Ministre de la Culture.
Racines, association marocaine pour la culture et le développement au Maroc et en Afrique organise, avec le soutien duMinistère de la Culture et de la Bibliothèque Nationale du Royaume du Maroc, et en partenariat avec Mimeta (Centre for culture and development), l’Ambassade de Norvège au Maroc, la Fondation Heinrich Böll, le British Council, la Fondation René Seydoux, EUNIC Rabat, l’Ambassade de France/Institut Français du Maroc, le Centre des Etudes Sociales, Economiques et Managériales CESEM et Ain Soltane, les « Etats Généraux de la Culture au Maroc », à la BNRM, le mercredi 12 novembre 2014.
Il s’agit de la présentation de préconisations de politique culturelle pour le Maroc, issues d’un travail de deux années d’inventaire, de diagnostic, de rencontres professionnelles et régionales, ainsi que des études sectorielles concernant 18 disciplines artistiques et des études transversales sur la gouvernance culturelle, la formation, l’éducation à l'art, la diversité culturelle…L’objectif est la mise en place d’un plan d’action national pour la culture, formulé à partir des propositions issues du diagnostic du secteur et des recommandations des professionnels, des publics et des institutionnels.
Les Etats Généraux de la Culture s'accompagneront d'une programmation culturelle variée, du 11 au 15 novembre 2014 en partenariat avec la Galerie le Cube et les Sessions du Pietri: concerts, café littéraire, performance arts visuels. Raja El Mouatarif, Driss Ksikes, Majid Safouane, Imane Zerouali et Fatima Titouh animeront "Divan Public" sur le thème du père , à partir d'extraits de films de Hakim Belabbes à la Salle Gérard Philipe (Institut Français de Rabat) le 14 novembre 2014 à 19h.
Arterial Network, réseau culturel panafricain, et l’association Racines – son représentant national au Maroc – organisent, avec le soutien du Ministère de la Culture et de la Bibliothèque Nationale du Royaume du Maroc, et en partenariat avec la Fondation Doen, le Ministère norvégien des Affaires Etrangères, la Fondation Attijari Wafabank, la Fondation Banque Populaire, la BMCE Bank, l’Organisation Internationale de la Francophonie, la Fondation Ford, l’Institut Français/Equation Musique, Connexxions, la Royal Air Maroc, l’Office National Marocain du Tourisme, le British Council, l'Institut Goethe du Maroc, la Marocaine des Jeux et des Sports, Eunic Rabat, Africalia, l’Institut des Hautes Etudes de Management HEM, l'Institut Supérieur de l'Information et de la Communication ISIC, Cooper Pharma, Ain Soltane et Ebertec, la 4ème Conférence sur l’Economie Créative en Afrique, du 13 au 15 novembre 2014 à la BNRM.
La conférence est un sommet international rassemblant 40 pays africains, 12 pays européens, 5 pays d’Amérique du Nord et du Sud et 5 pays asiatiques. La thématique est orientée vers les nouvelles perspectives économiques de la culture et du patrimoine africains. 300 professionnels du secteur culturel et artistique : artistes, opérateurs culturels, institutionnels publics et privés, organisations internationales (ONU, UNESCO, FICDC, Union Africaine, Union Européenne....), entrepreneurs, universitaires…du continent et du reste du monde se donnent rendez-vous, chaque année, afin de débattre et de formuler des stratégies de croissance et de durabilité pour un secteur culturel africain dynamique, créateur de richesse, d’emplois et d’image positive de l’Afrique.
Une diffusion des Etats Généraux de la Culture et de la Conférence se fera en live streaming.
La première plateforme professionnelle de la musique du Maroc, du Moyen-Orient et d’Afrique, Visa For Music, est organisée avec le soutien du Ministère de la Culture du Maroc, de l’European Forum of Worldwide Music Festivals (EFWMF) et de la Fondation HIBA.
Visa For Music se positionne comme le marché international incontournable des musiques du monde et des musiques actuelles pour ces territoires, et comme la plateforme interprofessionnelle de la filière musicale au Maroc et pour les pays du Sud. Organiser ce salon au Maroc s’impose comme une évidence puisque le pays connaît depuis quelques années une importante évolution de son paysage culturel et musical, notamment les grands festivals de musique organisés et qui ont aujourd’hui une renommée internationale. Visa For Music réunira les professionnels de la filière et sera ponctué par de nombreuses manifestations, dont le point fort sera la tenue d’une trentaine de showcases mettant en lumière des artistes sélectionnés parmi plus de 600 candidatures reçus de plus de 50 pays, du Maroc, de l’ensemble du continent africain, du Moyen Orient, d’Europe et des caraïbes. Une série d’autres manifestations marqueront ce marché pour en faire un évènement empreint d’interactivité et d’échanges : conférences et projections de films documentaires liée à la musique, formations professionnelles, speed-meetings, Networking, etc.
Un hommage sera également rendu à quelques figures ayant marqué l’histoire récente de la musique au Maroc, sur le continent et dans la région du Moyen-Orient. Plus de 250 artistes sont attendu à cet événement et une centaine de professionnels de la musique du monde entier ainsi que les média spécialisés.
Pour plus d’informations, vous pouvez consulter les liens suivants :
#ACEC_2014
@ACEC_2014
Contact Etats Généraux/Conférence:
Ahmed Madkouri
Attaché de presse
+212 666 55 25 88
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ALGERIE

POLEMIQUE DANS LA PRESSE ALGERIENNE, A RAS DES PAQUERETTES SUR LA RECEPTION DU 60° ANNIVERSAIRE DU 1° NOVEMBRE 54  DE L'AMBASADE D'ALGERIE A PARIS

Pour resituer les choses,........bien que nous n'étions pas présents...........il y a des vérités à rappeller..... 

1 - cela fait plusieurs années que la réception se déroule au pavillon Dauphine à l'entrée du Bois de Boulogne(pas à Alger- El MADANIA) parceque justement les prix sont plus compétitifs qu'anciennement à l'hotel intercontinental bien plus luxueux car la baisse des budgets de représentation a commencé depuis quelques années

2 - 300 personnes ce n'est pas excessif on a connu bien plus .........

3 - La cérémnie semble avoir été au contraire simple chez l'ancien ennemi & Colon, & se devait d'ouvrire une nouvelle ère....pour les temps à venir......l'ambassadeur a bien l'intention d'y travailler......

4 - Le nouvel ambassadeur a une expérience qui lui permettra de rendre plus visible l'Algérie & pas sur une cérémonie où peu de gens intèressants sont dans ces réunions convenues.....il faut multiplier les rencontres en les innovant........& éviter les parasites qui se croient indispensables parcequ'ils sont algériens & qui n'ont jamais rien apporté à la relation france-algérien mais aiment bien les coupes de champagne principalement......
.....Nous mêmes participons à une meilleure connaissance de ce pays sans pourtant être présents dans cette réception..ni dans les réceptions ou réunions convenues plus économiques mais peu généra trices d'échanges concrets (car les même parasites essaient de s'incruster tant qu'on ne confie pas l'organisation a des professionnels) ...qui n'est pas indispensable à faire avancer les choses.......il y en aura d'autres.......... 

  Il devra chercher l'exemple au Canada francophone,  où l'Ambassade d'Algérie a même remis des prix & distingué des membres éminents de la diaspora.......en France cette diaspora devra être sélective & inter-agir sur l'excellence entre les deux rives........& écarter les incultes & les  parasites qui fréquen tent les galeries de ces cérémonies officielles politiques n'ont jamais rien apporté à l'image de l'Algé rie...parfois au contraire,...par exemple on a dû accepter que Madame Assia DJEBBAR élue à L'Acadé mie Française au lieu de La Coupole, a dû accepter une cérémonie d'entrée solennelle dépouillée de solennel, au QUAI d'ORSAY.....presque en cachette.....voilà l'image de l'Algérie où elle se trouvait !!!)
où la présence des cousins alger-paris semblait plus importante qu'une présence sur critère de compétences comme partout ailleurs en Europe & dans le Monde, mais de nouvelles options semblent avoir été prises plus proche de la recherche d'éfficacité au service d'une relation optimum entre les deux rives...

..la mise à l'écart de Yasmina Kadra du Centre Culturel est un mauvais signal pour donner une compen sation à Madame TOUMI qui a dépensé beaucoup d'argent à alger pour le projet de film sur l'Emir AB DELKADER (qui appréciait beaucoup PARIS quand il y séjourna),  qui n'a pas été développé sur des critères professionnels car à Alger il y a tellements de vrais ou pseudo-descendants de l'Emir qui s'en sentent propriétaires alors que cela doit être le projet d'un réalisateur(ou trice) ou un producteur(ou trice) selon un parcours & une démarche pro.... même Lakdar Hamina laissait entendre qu'il avait un projet.....


Mais comme pour  le sucre, au moment du Ramadan, il y a des bateaux qui coulent,...le savez-vous ?......
........pareillement les budgets de cinéma sont solubles....dans le port d'Alger.......& les salles sont rénovées au compte-gouttes .........quand on a connu l'engouement cinéphile des Algérienn(e)s dans les années 70 & 80 .......ce loisir a presque complètement disparu pour le grand public....

.....alors que des films d'Algérien(ne)s sont des succès de festivals.....peu visibles dans leur pays qui il est vrai les a si peu aidés pour le financement qui doit être repensé en Algérie.......ainsi que la reconstruction de structures de production, de post-production sérieuses & de la distribution & l'exploitation de salles pour une bonne couverture du pays devrait atteindre 1800 salles...

...on en est très loin.......des métiers à refaire vivre avec la restauration de ciné-clubs autour des écoles, centre socio-culturels & universités...le public de base du cinéma dans le monde entier & aussi dans les comités d'entreprises & les collectivités locales avec l'organisation de festivals pour booster l'intèrêt retrouvé mais peut-être avec une adaptation : "Madame l'Ampoula", l'ouvreuse,  ne supporterait plus l'ambiance d'un public masculin instable, & la nécessité de salles pour les familles, surtout les familles monoparentales femmes & enfants.........vu la sociologie actuelle, des problèmes que l'on rencontre aussi  en France dans les banlieues....& fortes concentrations urbaines....

.....On pourrrait aussi penser à faire circuler des camions-cinéma ambulants notament dans les quartiers & petites villes démuni(e)s en salles de cinéma en attendant la réouverture de salles...dans les grandes villes d'abord,.il reste il est vrai quand même les salles municipales & maisons de jeunes & de la culture, ..mais les projets d'activités ambulantes sont aussi des projets générateurs d'activités au service de l'emploi.....et cela est possible grâce au développement de l'Economie Sociale & Solidaire dont nous défendons le modèle écosocial en France en europe & en Méditerranné très adapté pour les zones urbaines & quartiers un peu délaissés, dans ces activités on peut aussi y trouver des camions dits de "street food" qui méritent d'être développés en projets de jeunes générateurs d'emplois simples & appropriables par les jeunes comme ceux & celles qui gèrent des fast-food & des pizzerias de rue.......là est le début de la reconquête de l'emploi simple & des services  donc de la dignité.

Pour cela il faut aller à la rencontre des gens les plus simples pour les convaincre......même donner de l'espèrence aux délinquants que quelque chose de concret peut exister.........c'est une question de volonté.........qui doit être soutenue activement........face aux ravages de la désespèrence & de "la Mère COURAGE"(la blanche.......pas la lumière célèbre d'Alger, l'autre......la blanche qui peut vous plonger dans le noir......!!!)..........
..ALORS.......COURAGE......MAIS.."......SANS LA MERE BLANCHE .....S'IL VOUS PLAIT !!!"...........
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avec des partenaires Canadiens,  en contrepartie,  nous pourrons vous donner accès à des blibliothè ques de livres numériques téléchargeables libres de droit & illimités...................
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Dans le CLUB-LABEL M-INTERPANORAMA

Droits d'Entrée : 

6€(pour 36€ ou 66€)..
66€ pour 366€  ou 666€...
666€  pour 3.666€  ou 6.666€ pour 36.666€ ou 66.666€
66.666€.....pour 366.666€ ou 666.666€

Ces montants seront affectés à la gestion de la SCIC, la Formation, le Développement &
aux activités non lucratives solidaires statutaires........

.......ainsi que le développement d'un grand portail d'Information & des Savoirs ESS ECO-SOCIO-Solidaire associé à une web TV & WEB Radio ainsi que le renforcement de nôtre Agence d'Information & de diffusion de Presse ECO-Solidaire Sans Frontières & des Blogs ou sites web édités comme celui-ci pour occupper l'espace de l'information en même temps que celui de l'action pour en apréhender le risque......


Pour les montants les plus importants concernant le Solde :

consiste en  Droits d'Accès & d'Engagements pour les Contributions & les Engagements
pour les programmes d'Actions Solidaires Ecosociales

          30€.............60€.......Particuliers, Groupements Locaux & Petites  Associations
        300€...........600€.......Particuliers,Autres Groupements & Petites & Moyennes Associations
     3.000€........6.000€.......Collectivités Locales, Petites Entreprises & Grandes Associations
   30.000€......60.000€.......Collectivités Régionales, Nationales, Internationales....& PMI & PME
 300.000€....600.000€.......Grandes Collectivités,Grandes Entreprises,Mutuelles & Fondations

.......Pour participer au financement des Programmes d'Actions Propres de Proximité & Trans
versaux  Multipartenaires qui seront co-gérés par les Collèges Statutaires qui constituent 
la Société Coopérative d'Intèrêts Collectifs.....(SCIC)...& mobiliser les potentiels de l'Econo
mie Sociale & Solidaire........où nous allons, grâce à vôtre soutien développer des micro-projets locaux, Régionaux, Nationaux, Européens & Sans-frontières, générateurs d'activités destinés à créer des emplois durables & lever une véritable armée contre la crise & le mal développement de la précarité 
qui ne sera plus une fatalité susceptible d'offrire un trône dynastique au Front National....mais nous aider à  nous rassembler derrière les valeurs universelles de la Démocratie des Lumières qui surent combattre les religieux & les condamner au silence pour longtemps......on peut rêver.....!!!!

Le montant de vôtre solde "Accès pour Contribution & Engagements" sera versé dans une Société Coopérative d'Intèrêts Collectifs en formation...vous donnera accès au Collège Statutaire avec droits de vote "Contributions & Engagements"...de Droit Français, & Européen(SCIC) sur le RIB de Jean-Guy JAIS, chef du projet(voir RIB) en toute transparence garantie par une charte de contributions 
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Par VIREMENT BANCAIRE
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RIB/IBAN Jean-Guy JAIS
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RIB.......30004  00834   00003833980 086
IBAN....FR76   3000   4008  3400  0038 3398 086
BIC.......BNPA FR PP IVR
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sous l'égide de 

l'Association Groupe label M, 

& Association CMIECES"Alliance Méditerrannée"
(journal officiel 75 du 9-10-1984)

Département en commun du développement
siège à Paris,
c/o Jean-Guy Jais, 
Président commun
& chef de projet de la SCIC,
      1,rue A.HUON
      94200 Ivry-sur-seine

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nous contacter : jean-guy jais, 
                             jgj.labelm.interpanorama@gmail.com

nous attendons aussi vos commentaires
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  Note de la Présidence & de la Délégation Générale :

 Nous remercions d'ors & déjà les ami(e)s qui se sont manifesté(e)s & apportée leur contribu
 tions & leurs promesses d'engagements & nul doute qu'ils seront actifs & actives dans les réu
nions des comités de collèges statutaires pour que ce projet de Tontine Citoyenne Universelle à travers la SCIC en formation que  nous mettons en place prenne effectivement corps de façon durable au service de tous & toutes.......dans l'esprit de l'Economie Universelle Citoyenne 
Sociale & Solidaire.......à partager avec d'autres mais générants tant de belles valeurs ...

        Nous restons convaincus que le déclic universel est tout proche pour avoir un développement plein de surprises & d'initiatives & propositions & suggestions utiles........pour aujourd'hui & demain & pouvoir aller bien au-delà de nos objectifs modestes......!!!.......____________________________

TOUT LE MONDE PEUT NOUS AIDER....& CONTRIBUER
....AVEC 6€ même,......36€ ou........ 66€......& + pour les associations & collectivités publique & privées....
.....366€  666€/ 3.666€   6.666€.....36.666€  66.666€....
....& même : 366.666€ & 666.666€...........
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